Lire, c’est rêver les yeux ouverts

Lire en Soissonnais

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Lire en Soissonnais

Salon du Livre 2024

L’association Lire en Soissonnais a le grand plaisir de vous annoncer que le Salon du Livre de Soissons  – 9ème édition aura lieu

le samedi 12 et le dimanche 13 octobre 2024

au Mail-Scène culturelle de Soissons avec le soutien de la ville de Soissons.

(Comme chaque années, nous décernerons le Prix Lire en Soissonnais).

Chères autrices, chers auteurs,

Chères éditrices, chers éditeurs,

Les Candidatures sont closes

Bulletin de Préinscription

Seulement pour information sur les modalités

(Candidatures closes pour le salon 2024)

Rendez-vous en janvier-février 2025 pour l’ouverture des candidatures du salon 2025

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Adhésion 10 €

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Citation – Macondo était

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« Macondo était alors un village d’une vingtaine de maison en glaise et en roseaux, construites au bord d’une rivière dont les eaux diaphanes roulaient sur un lit de pierres polies, blanches, énormes comme des œufs préhistoriques. Le monde était si récent que beaucoup de choses n’avaient pas encore de nom pour les mentionner, il fallait les montrer du doigt. »

Gabriel Garcia Marquez

 

“Cent ans de solitude”

Citation – J’ai un petit quelque chose

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" La gourelle ouvrit le premier cahier et expliqua au capitaine que Jéhovite s’exprimait à travers sa main. Elle pratiquait donc l’écriture automatique, sa plume servant d’intermédiaire avec l’Au-delà. Au fur et à mesure qu’elle feuilletait les pages et les lui mettait sous les yeux, une certaine frénésie s’emparait d’elle. Arthur y découvrait une écriture tantôt minuscule, au point de ressembler à un défilé erratique de fourmis, tantôt démesurée, comme autant d’arabesques décidées à sortir du cadre de la page par manque d’espace. Les mots semblaient liés les uns aux autres dans une farandole infernale.. "

Claude BRONGNIART

 

“ J'ai un petit quelque chose pour vous “

 

 

Citation – La journée avait

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«  La journée avait plutôt bien commencé, un billet de 50 euros orphelin souhaitait que je devienne son tuteur légal. Le pauvre, il était perdu sur le trottoir, plié en quatre, probablement au bout du rouleau. Je lui ai fait une place dans ma poche, bien au chaud avec quelques-unes de ses copines en métal jaune et blanc. Quand on peut être charitable…»

Hermann Sboniek

 

“Lily“

 

 

 

 

Citation – Il n’y a pas

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«  Il n’y a pas d’opinion, si absurde soit-elle, que les hommes ne sont pas prêts à embrasser dès qu’ils peuvent pourvu qu’on puisse les convaincre que c’est une vue généralement admise. L’exemple affecte leur pensée et leurs actions. Ils sont comme des moutons, suivant celui qui porte le grelot où qu’il les mène : il est pour eux plus facile de mourir que de réfléchir. »

Arthur Schopenhauer

 

“L'Art d'avoir toujours raison” (1830)

Citation – Quand je pense

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« Quand je pense à tous les livres qu’il me reste à lire, j’ai la certitude d’être encore heureux. »

Jules RENARD

 

 

Citation – Un jour

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« Un jour, j’étais âgée déjà, dans le hall d’un jardin public, un homme est venu vers moi. Il s’est fait connaître et il m’a dit : « Je vous connais depuis toujours. Tout le monde dit que vous étiez belle lorsque vous étiez jeune, je suis venu pour vous dire que pour moi je vous trouve plus belles maintenant que lorsque vous étiez jeune, j’aimais moins votre visage de jeune femme que celui que vous avez maintenant, dévasté.

Je pense souvent à cette image que je suis seule à voir encore et dont je n’ai jamais parlé. Elle est toujours là dans le même silence, émerveillante. C’est entre toutes celle qui me plaît de moi-même, celle où je me reconnais, où je m’enchante. »

MARGUERITE DURAS

 

"L'amant"

Citation – Aujourd’hui le géranium

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Aujourd'hui, le géranium a mangé la voisine.

Ça faisait des mois qu'il poussait là, tranquillement, sur son balcon. Des mois que tout le monde lui disait de le tailler. Des mois qu'elle répondait avec un sourire qu'elle le laissait pousser encore un peu. Et aujourd'hui, il a décidé qu'il avait bien assez poussé et qu'il avait faim.

Il a juste recraché ses pantoufles violettes. Sûrement la fausse fourrure qui ne lui a pas plu. Ça a les papilles très sensibles, un géranium.

Du coup, on s'est un peu organisés avec les autres voisins pour aller nous occuper de lui. Pas facile comme expédition, ça. En général, on n'attend pas que les plantes deviennent aussi grandes pour leur apprendre les bonnes manières. En plus, une fois qu'une plante a mangé quelqu'un, elle s'en souvient. Et elle a très envie de manger quelqu'un d'autre.

Là, le géranium nous observe depuis le balcon de la voisine. Il nous observe et il agite ses feuilles de manière très menaçante.»

Svetlana Kirilina

 

“Réunion de voisinage“ 

 

 

Citation – Eyes – Emily LISE

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Oublie tout ce que tu as appris.
Tu n’es plus rien.
Tu n’es qu’une idée.
Un vide. Un potentiel.

Émily LISE

 

“ EYES “

 

 

Citation – L’intelligence me

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« — L’intelligence me rend malade. Tout le monde est intelligent, de nos jours. On ne peut aller nulle part sans rencontrer des gens intelligents. C’est devenu une véritable nuisance publique. Je prie le ciel qu’il nous reste quelques imbéciles !
— Oh, il nous en reste.
— J’adorerais en connaître un. De quoi parlent-ils ?
— Les imbéciles ? Oh, des gens intelligents, bien sûr.
— Quels imbéciles !. »

OSCAR WILDE

 

“L’Importance d’être Constant”

Citation – Sur le fil de l’arête

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“L’état d’extrême concentration sur moi-même nécessaire à la survie que j’avais découvert en marchant sur l’arête de Miage était aussi celui que requérait ma survie dans le monde de tous les jours. Il me fallait avancer en faisant abstraction de ce qu’il y avait en dehors de moi, du danger, du vide à droite et à gauche.”

Marie-Hélène RÉMY

 

“ SUR LE FIL DE L’ARÊTE “

 

 

Citation – Il me sourit

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« Il me sourit avec une sorte de complicité – qui allait au-delà de la complicité. L’un de ces sourires singuliers qu’on ne rencontre que cinq ou six fois dans une vie, et qui vous rassure à jamais. Qui, après avoir jaugé – ou feint peut-être de jauger – le genre humain dans son ensemble, choisit de s’adresser à vous, poussé par un irrésistible préjugé favorable à votre égard. Qui vous comprend dans la mesure exacte où vous souhaitez qu’on vous comprenne, qui croit en vous comme vous aimeriez croire en vous-même, qui vous assure que l’impression que vous donnez est celle que vous souhaitez donner, celle d’être au meilleur de vous-même. »

F. SCOTT FITZGERALD

 

“Gatsby le magnifique”

Citation – Aux deux coins

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«  Aux deux coins de sa bouche se jouait constamment un sourire : on aurait même pu dire deux sourires, dont l'un faisait pendant à l'autre.»

Léon Tolstoï

 

“Guerre et Paix“

 

 

 

 

 

 

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