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“L’état d’extrême concentration sur moi-même nécessaire à la survie que j’avais découvert en marchant sur l’arête de Miage était aussi celui que requérait ma survie dans le monde de tous les jours. Il me fallait avancer en faisant abstraction de ce qu’il y avait en dehors de moi, du danger, du vide à droite et à gauche.”

Marie-Hélène RÉMY

 

“ SUR LE FIL DE L’ARÊTE “