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Lire en Soissonnais

Candidatures

Lire en Soissonnais

Salon du Livre 2024

Chères autrices, chers auteurs,

Chères éditrices, chers éditeurs,

Les Candidatures sont ouvertes !

L’association Lire en Soissonnais a le grand plaisir de vous annoncer que le Salon du Livre de Soissons  – 9ème édition aura lieu

le samedi 12 et le dimanche 13 octobre 2024

au Mail-Scène culturelle de Soissons avec le soutien de la ville de Soissons.

(Comme chaque années, nous décernerons le Prix Lire en Soissonnais).

Vous pouvez vous inscrire dès à présent en téléchargeant et en complétant le bulletin de préinscription ci-dessous.

Attention les candidatures seront closes le 10 mai 2024.

Bulletin de Préinscription

Téléchargez le bulletin ci-dessous

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Adhésion 10 €

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Citation – Un jour

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« Un jour, j’étais âgée déjà, dans le hall d’un jardin public, un homme est venu vers moi. Il s’est fait connaître et il m’a dit : « Je vous connais depuis toujours. Tout le monde dit que vous étiez belle lorsque vous étiez jeune, je suis venu pour vous dire que pour moi je vous trouve plus belles maintenant que lorsque vous étiez jeune, j’aimais moins votre visage de jeune femme que celui que vous avez maintenant, dévasté.

Je pense souvent à cette image que je suis seule à voir encore et dont je n’ai jamais parlé. Elle est toujours là dans le même silence, émerveillante. C’est entre toutes celle qui me plaît de moi-même, celle où je me reconnais, où je m’enchante. »

MARGUERITE DURAS

 

"L'amant"

Citation – Il n’y a pas

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«  Il n’y a pas d’opinion, si absurde soit-elle, que les hommes ne sont pas prêts à embrasser dès qu’ils peuvent pourvu qu’on puisse les convaincre que c’est une vue généralement admise. L’exemple affecte leur pensée et leurs actions. Ils sont comme des moutons, suivant celui qui porte le grelot où qu’il les mène : il est pour eux plus facile de mourir que de réfléchir. »

Arthur Schopenhauer

 

“L'Art d'avoir toujours raison” (1830)

Citation – Quand je pense

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« Quand je pense à tous les livres qu’il me reste à lire, j’ai la certitude d’être encore heureux. »

Jules RENARD

 

 

Citation – Sur le fil de l’arête

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“L’état d’extrême concentration sur moi-même nécessaire à la survie que j’avais découvert en marchant sur l’arête de Miage était aussi celui que requérait ma survie dans le monde de tous les jours. Il me fallait avancer en faisant abstraction de ce qu’il y avait en dehors de moi, du danger, du vide à droite et à gauche.”

Marie-Hélène RÉMY

 

“ SUR LE FIL DE L’ARÊTE “

 

 

Citation – Il y a plus

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«  il y a plus d'une façon de brûler un livre, l'une d'elles, peut-être la plus radicale, étant de rendre les gens incapables de lire par atrophie de tout intérêt pour la chose littéraire, paresse mentale ou simple désinformation. »

Ray Bradbury

 

“Fahrenheit 451” (1953)

Citation – Aux deux coins

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«  Aux deux coins de sa bouche se jouait constamment un sourire : on aurait même pu dire deux sourires, dont l'un faisait pendant à l'autre.»

Léon Tolstoï

 

“Guerre et Paix“

 

 

 

 

 

 

Citation – Aujourd’hui le géranium

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Aujourd'hui, le géranium a mangé la voisine.

Ça faisait des mois qu'il poussait là, tranquillement, sur son balcon. Des mois que tout le monde lui disait de le tailler. Des mois qu'elle répondait avec un sourire qu'elle le laissait pousser encore un peu. Et aujourd'hui, il a décidé qu'il avait bien assez poussé et qu'il avait faim.

Il a juste recraché ses pantoufles violettes. Sûrement la fausse fourrure qui ne lui a pas plu. Ça a les papilles très sensibles, un géranium.

Du coup, on s'est un peu organisés avec les autres voisins pour aller nous occuper de lui. Pas facile comme expédition, ça. En général, on n'attend pas que les plantes deviennent aussi grandes pour leur apprendre les bonnes manières. En plus, une fois qu'une plante a mangé quelqu'un, elle s'en souvient. Et elle a très envie de manger quelqu'un d'autre.

Là, le géranium nous observe depuis le balcon de la voisine. Il nous observe et il agite ses feuilles de manière très menaçante.»

Svetlana Kirilina

 

“Réunion de voisinage“ 

 

 

Citation – Pour être heureux

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«  Pour être heureux jusqu'à un certain point, il faut que nous ayons souffert jusqu'au même point. Ne jamais souffrir serait équivalent à n'avoir jamais été heureux. Mais il est démontré que dans la vie inorganique la peine ne peut pas exister ; de là la nécessité de la peine dans la vie organique. La douleur de la vie primitive sur la terre est la seule vase, la seule garantie du bonheur dans la vie ultérieure, dans le ciel.. »

Edgar Allan Poe

 

“Histoires Extraordinaires”

Citation – Macondo était

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« Macondo était alors un village d’une vingtaine de maison en glaise et en roseaux, construites au bord d’une rivière dont les eaux diaphanes roulaient sur un lit de pierres polies, blanches, énormes comme des œufs préhistoriques. Le monde était si récent que beaucoup de choses n’avaient pas encore de nom pour les mentionner, il fallait les montrer du doigt. »

Gabriel Garcia Marquez

 

“Cent ans de solitude”

Citation – L’intelligence me

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« — L’intelligence me rend malade. Tout le monde est intelligent, de nos jours. On ne peut aller nulle part sans rencontrer des gens intelligents. C’est devenu une véritable nuisance publique. Je prie le ciel qu’il nous reste quelques imbéciles !
— Oh, il nous en reste.
— J’adorerais en connaître un. De quoi parlent-ils ?
— Les imbéciles ? Oh, des gens intelligents, bien sûr.
— Quels imbéciles !. »

OSCAR WILDE

 

“L’Importance d’être Constant”

Citation – Eyes – Emily LISE

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Oublie tout ce que tu as appris.
Tu n’es plus rien.
Tu n’es qu’une idée.
Un vide. Un potentiel.

Émily LISE

 

“ EYES “

 

 

Citation – Il me sourit

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« Il me sourit avec une sorte de complicité – qui allait au-delà de la complicité. L’un de ces sourires singuliers qu’on ne rencontre que cinq ou six fois dans une vie, et qui vous rassure à jamais. Qui, après avoir jaugé – ou feint peut-être de jauger – le genre humain dans son ensemble, choisit de s’adresser à vous, poussé par un irrésistible préjugé favorable à votre égard. Qui vous comprend dans la mesure exacte où vous souhaitez qu’on vous comprenne, qui croit en vous comme vous aimeriez croire en vous-même, qui vous assure que l’impression que vous donnez est celle que vous souhaitez donner, celle d’être au meilleur de vous-même. »

F. SCOTT FITZGERALD

 

“Gatsby le magnifique”

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