Lire en Soissonnais

Patrimoine Soissonnais

Abbaye Saint Jean des vignes

Une richesse à découvrir

À voir

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Cathédrale Saint-Gervais

La basilique-cathédrale Saint-Gervais-et-Saint-Protais de Soissons est une cathédrale catholique romaine de style gothique classique située à Soissons dans le département français de l'Aisne en région Hauts-de-France, à 99 km au nord-est de Paris. Elle a été érigée...

Abbaye Saint-Jean-des-Vignes

L’abbaye Saint-Jean-des-Vignes est une ancienne abbaye de chanoines réguliers fondée en 1076 par Hugues le Blanc, située sur la colline Saint-Jean, au sud-ouest de la ville de Soissons dans le département de l'Aisne en France, de style gothique. Cette abbaye fait...

Château de Berzy-le-sec

Le site de Berzy-le-Sec se situe à six kilomètres au sud de la ville de Soissons, sur un promontoire dominant la vallée de la Crise. Dès le XII ème siècle, le promontoire de Berzy était couronné d’un village où l’église paroissiale voisinait avec une tour...

Château de Septmonts

Situé à quelques kilomètres de Soissons, dans l’Aisne, le village de Septmonts doit en grande partie sa notoriété à son donjon du XIVème siècle, vestige impressionnant d’un ancien château, résidence des évêques de Soissons. Autour du donjon, la salle Saint-Louis,...

Abbaye Saint-Léger

L'abbaye Saint-Léger est une ancienne abbaye de chanoines séculiers puis réguliers. un édifice catholique du xiiie et xive siècles qui se situe à Soissons, dans le département de l'Aisne. Le cloître héberge le musée municipal de Soissons. HistoireUne première...

Guide du visiteur du Grand Soissons

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Citation – Le problème du

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« Le problème du mariage, c’est qu’il meurt toutes les nuits après l’amour et qu’il faut le reconstruire tous les matins avant le petit-déjeuner »

Gabriel Garcia Marquez

 

“L’amour au temps du choléra”

Citation – J’ai souffert

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«  J’ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j’ai aimé. C’est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui. »

Alfred de Musset

 

“On ne badine pas avec l'amour”

Citation – Il me sourit

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« Il me sourit avec une sorte de complicité – qui allait au-delà de la complicité. L’un de ces sourires singuliers qu’on ne rencontre que cinq ou six fois dans une vie, et qui vous rassure à jamais. Qui, après avoir jaugé – ou feint peut-être de jauger – le genre humain dans son ensemble, choisit de s’adresser à vous, poussé par un irrésistible préjugé favorable à votre égard. Qui vous comprend dans la mesure exacte où vous souhaitez qu’on vous comprenne, qui croit en vous comme vous aimeriez croire en vous-même, qui vous assure que l’impression que vous donnez est celle que vous souhaitez donner, celle d’être au meilleur de vous-même. »

F. SCOTT FITZGERALD

 

“Gatsby le magnifique”

Citation – Aux deux coins

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«  Aux deux coins de sa bouche se jouait constamment un sourire : on aurait même pu dire deux sourires, dont l'un faisait pendant à l'autre.»

Léon Tolstoï

 

“Guerre et Paix“

 

 

 

 

 

 

Citation – Il y a plus

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«  il y a plus d'une façon de brûler un livre, l'une d'elles, peut-être la plus radicale, étant de rendre les gens incapables de lire par atrophie de tout intérêt pour la chose littéraire, paresse mentale ou simple désinformation. »

Ray Bradbury

 

“Fahrenheit 451” (1953)

Citation – La solitude

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«  La solitude pense-t’elle, est une drogue à libération prolongée, elle pénètre lentement dans votre système, et vous devenez accro. Non, ce n’est pas une addiction, c’est un art. ET vous apprenez à ouvrir les portes du placard avec précaution afin que le vide ne vous saute pas à la gorge. »

Lisa Lynne Moore

 

“Février”

Citation – Macondo était

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« Macondo était alors un village d’une vingtaine de maison en glaise et en roseaux, construites au bord d’une rivière dont les eaux diaphanes roulaient sur un lit de pierres polies, blanches, énormes comme des œufs préhistoriques. Le monde était si récent que beaucoup de choses n’avaient pas encore de nom pour les mentionner, il fallait les montrer du doigt. »

Gabriel Garcia Marquez

 

“Cent ans de solitude”

Citation – L’intelligence me

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« — L’intelligence me rend malade. Tout le monde est intelligent, de nos jours. On ne peut aller nulle part sans rencontrer des gens intelligents. C’est devenu une véritable nuisance publique. Je prie le ciel qu’il nous reste quelques imbéciles !
— Oh, il nous en reste.
— J’adorerais en connaître un. De quoi parlent-ils ?
— Les imbéciles ? Oh, des gens intelligents, bien sûr.
— Quels imbéciles !. »

OSCAR WILDE

 

“L’Importance d’être Constant”

Citation – Quand je pense

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« Quand je pense à tous les livres qu’il me reste à lire, j’ai la certitude d’être encore heureux. »

Jules RENARD

 

 

Citation – Pour être heureux

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«  Pour être heureux jusqu'à un certain point, il faut que nous ayons souffert jusqu'au même point. Ne jamais souffrir serait équivalent à n'avoir jamais été heureux. Mais il est démontré que dans la vie inorganique la peine ne peut pas exister ; de là la nécessité de la peine dans la vie organique. La douleur de la vie primitive sur la terre est la seule vase, la seule garantie du bonheur dans la vie ultérieure, dans le ciel.. »

Edgar Allan Poe

 

“Histoires Extraordinaires”

Citation – Un jour

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« Un jour, j’étais âgée déjà, dans le hall d’un jardin public, un homme est venu vers moi. Il s’est fait connaître et il m’a dit : « Je vous connais depuis toujours. Tout le monde dit que vous étiez belle lorsque vous étiez jeune, je suis venu pour vous dire que pour moi je vous trouve plus belles maintenant que lorsque vous étiez jeune, j’aimais moins votre visage de jeune femme que celui que vous avez maintenant, dévasté.

Je pense souvent à cette image que je suis seule à voir encore et dont je n’ai jamais parlé. Elle est toujours là dans le même silence, émerveillante. C’est entre toutes celle qui me plaît de moi-même, celle où je me reconnais, où je m’enchante. »

MARGUERITE DURAS

 

"L'amant"

Citation – La journée avait

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«  La journée avait plutôt bien commencé, un billet de 50 euros orphelin souhaitait que je devienne son tuteur légal. Le pauvre, il était perdu sur le trottoir, plié en quatre, probablement au bout du rouleau. Je lui ai fait une place dans ma poche, bien au chaud avec quelques-unes de ses copines en métal jaune et blanc. Quand on peut être charitable…»

Hermann Sboniek

 

“Lily“

 

 

 

 

Citation – Aujourd’hui le géranium

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Aujourd'hui, le géranium a mangé la voisine.

Ça faisait des mois qu'il poussait là, tranquillement, sur son balcon. Des mois que tout le monde lui disait de le tailler. Des mois qu'elle répondait avec un sourire qu'elle le laissait pousser encore un peu. Et aujourd'hui, il a décidé qu'il avait bien assez poussé et qu'il avait faim.

Il a juste recraché ses pantoufles violettes. Sûrement la fausse fourrure qui ne lui a pas plu. Ça a les papilles très sensibles, un géranium.

Du coup, on s'est un peu organisés avec les autres voisins pour aller nous occuper de lui. Pas facile comme expédition, ça. En général, on n'attend pas que les plantes deviennent aussi grandes pour leur apprendre les bonnes manières. En plus, une fois qu'une plante a mangé quelqu'un, elle s'en souvient. Et elle a très envie de manger quelqu'un d'autre.

Là, le géranium nous observe depuis le balcon de la voisine. Il nous observe et il agite ses feuilles de manière très menaçante.»

Svetlana Kirilina

 

“Réunion de voisinage“ 

 

 

Citation – Il n’y a pas

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«  Il n’y a pas d’opinion, si absurde soit-elle, que les hommes ne sont pas prêts à embrasser dès qu’ils peuvent pourvu qu’on puisse les convaincre que c’est une vue généralement admise. L’exemple affecte leur pensée et leurs actions. Ils sont comme des moutons, suivant celui qui porte le grelot où qu’il les mène : il est pour eux plus facile de mourir que de réfléchir. »

Arthur Schopenhauer

 

“L'Art d'avoir toujours raison” (1830)

Citation – Les autres mettent

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« Les autres mettent des semaines et des mois pour arriver à aimer. Moi, ce fut le temps d’un battement de paupières. Dites-moi fou, mais croyez-moi. Un battement de ses paupières, et elle me regarda sans me voir, et ce fut la gloire et le printemps et le soleil et la mer tiède et sa transparence près du rivage et ma jeunesse revenue, et le monde était né. »

Albert COHEN

"Belle du Seigneur"

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